sabato 1 marzo 2014

PARIS EDITH PIAF

J'attends la nuit qui pousse la lumière ailleurs
la lutte des heures n'a pas de vainqueurs
ce sera l'aube avec ses clameurs
qu'il marquera la fin de moments damnés
ou des minutes à l'amour offert.
Sentiments perdus laissent ombres pour les rues
de cette ville sans plus la  Môme
ils pleurent les bistrots pour les chants perdus

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